EDMEE REMBAULT, DIRECTRICE ET REDACTRICE EN CHEF
Après avoir parlé de Lavaux sous l’angle œnotouristique (voir VV9–2024), nous avons choisi pour ce numéro 10 d’aborder Lavaux sous l’angle de la biodiversité. Nous vous proposons donc une interview de Raymond Delarze (p. 18) qui a conduit le projet « Lavaux Nature Vivante», inventaire de 5 groupes cibles de plantes et d’animaux. Ce projet est mené grâce à un financement et sous l’impulsion de la Fondation L.-P. et A.-C. Bovard.
Les vignes ont été l’objet de beaucoup de soucis et de très nombreux traitements en cette saison végétative 2024. Pierre-Henri Dubuis, dans une interview (p. 22), retrace les défis de l’emploi du cuivre en viticulture et des possibilités – ou non – de le remplacer dans un contexte règlementaire toujours plus strict.
En arboriculture, il est toujours important de pouvoir calculer la rentabilité des cultures. Le programme Arbokost permet de simuler la production. Dans sa nouvelle version, il est possible de modéliser un verger d’abricotiers bio, avec toutes ses caractéristiques. Les chercheurs d’Agroscope proposent de découvrir ces nouveaux éléments en p. 7.
En œnologie, les bulles sont toujours très à la mode. Les chercheurs de la Haute école en viticulture et œnologie ont mené une étude sur le marché des vins mousseux en Suisse et leurs opportunités de développement (p. 11).
A Wädenswil, en arboriculture, les cultures ciblées (« speed breeding ») permettent de réduire de moitié les cycles de génération, et d’accélérer la création de variétés de pommes. Grâce à la méthode « Fast Track», (p. 14) les chercheurs d’Agroscope parviennent à obtenir beaucoup plus rapidement des croisements entre des pommes de cultures et des pommes sauvages.
Bonne lecture !
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